Extrait :
il existe certains esprits qu’on pourrait comparer à ces malades et qu’une sorte de paresse ou de frivolité empêche de descendre spontanément dans les régions profondes de soi-même où commence la véritable vie de l’esprit. Ce n’est pas qu’une fois qu’on les y a conduits ils ne soient capables d’y découvrir et d’y exploiter de véritables richesses, mais, sans cette intervention étrangère, ils vivent à la surface dans un perpétuel oubli d’eux-mêmes (...)Cliquer pour accéder Sur la lecture de Proust
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